Perrine Le Bars

« Taurus »

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Le mot du marchand

A la différence de certains travaux de Xavier Veilhan ou Richard Orlinsky auxquels elle pourrait être assez hâtivement comparée, les œuvres de Perrine Le Bars ne décomposent pas les volumes en subdivisant leur surface en facettes plus ou moins développées mais au contraire reconstruit des volumes à partir de modules presque parallélépipédiques. Le « presque » prend ici toute son importance car il fournit un modelé, une douceur à laquelle la rigidité de formes rigoureusement caractérisées ne pourrait prétendre. Pour poursuivre les analogies on peut dire que le travail de Perrine Le Bars s’apparente davantage à celui de « Fernande » de Pablo Picasso en 1909 qu’à ceux des deux artistes précités.

Word from the merchant

Unlike some works by Xavier Veilhan or Richard Orlinsky, to whom she could be hastily compared, the works of Perrine Le Bars do not break down volumes by subdividing their surface into more or less developed facets, but instead reconstruct volumes from almost parallelepipedic modules. The word 'almost' takes on its full importance here, because it provides a shaping, a softness that the rigidity of rigorously characterised forms could not aspire to. To continue on analogies way, Perrine Le Bars' work is more akin to Pablo Picasso's Fernande in 1909 than to either of the two artists mentioned above.

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Ref : 5041

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